8 choses que je ne veux pas voir dans une variante solo !

Publié par Le chat solitaire (Skinner) le

Attention, je déclare que le soussigné article sera sujet à la dénonciation et à la mauvaise foi, car des études (je sais plus lesquelles) ont prouvé les bienfaits de râler publiquement sans se remettre en question. Cela ferait vivre plus longtemps et améliorerait l’hygiène corporelle.

“J’espère que tu retrouveras la source de ces études, car elles m’intriguent au plus haut point !”

Promis, je mets ça sur ma “To do list”.

Les 8 points suivants regroupent ce qui m’agace le plus dans les modes solo (officiels ou non) mais qui arrivent parfois sur ma table pour la raison que je ne me renseigne pas toujours assez. Allez, c’est parti !


Les Beat Your Own Score

Certains adorent, moi je ne supporte pas.

Pour les anglophobes, Beat Your Own Score signifie battre son meilleur score. Cela s’applique donc aux modes solo où le jeu vous donne quartier libre pour vous amuser, sans fournir d’opposition, le but étant d’accumuler le plus de points possible. D’ailleurs, la plupart des jeux offrant ce genre de mode vous octroient une appréciation en fin de partie, selon vos prouesses, comme ceci :

0 à 10 points : Vous ne devriez même pas être en train de perdre votre temps à jouer à des jeux de plateau, achetez-vous une PS5 !

11 à 20 points : Vous êtes à peine plus intelligent que Sinatrash.

21 à 30 points : Mouais, pas mal.

31 à 40 points : Bravo, vous n’êtes pas loin du niveau de K’euroline !

Plus de 40 points : Vous avez forcément triché !

“Même pas drôle…”

Les Beat Your Own Score les plus connus sont, à mes yeux, les titres d’Uwe Rosenberg, ces jeux à l’allemande destinés à ceux qui sont nés avec une calculatrice à la place du cerveau, même si, bien entendu, ces jeux trouveront aussi leur public auprès des gens normaux voulant se détendre ou relever un défi. A titre personnel, j’aime bien Le Havre, mais cela restera une exception.

Aujourd’hui, il existe un certain nombre de jeux en solo pouvant être considérés comme des Beat Your Own Score déguisés, c’est-à-dire que vous pourrez tout de même perdre la partie si vous ne remplissez pas certains objectifs mais qu’avec un peu d’expérience, vous devriez tout de même triompher, et là, faire le plus haut score deviendra le sel du jeu. Je citerais Terraforming Mars, dans le domaine.


Les faux modes solo

Là, on touche surtout aux Wargames.

Les faux modes solo sont les jeux (heureusement assez rares) où la configuration à un seul joueur est indiquée alors qu’il s’agit d’incarner deux joueurs à la fois qui seront adversaires. Le mode schizophrène, quoi.

Il est vrai que j’ai longtemps adoré jouer plusieurs camps dans mes jeux multijoueur étant gamin (parce qu’à l’époque, les jeux jouables en solo ne couraient pas les boutiques), mais indiquer sur la boîte que le jeu peut se jouer seul alors qu’il faut contrôler les différents adversaires, cela fait un peu publicité mensongère, pour moi !

Certains Wargames exploitent plus intelligemment le principe : à défaut de dire que le jeu est praticable seul, ils fournissent une échelle de “solo friendly value”. En gros, plus cette valeur sera élevée, plus il sera aisé de jouer les deux camps, car c’est un hobby répandu dans le milieu.

On me demandera peut-être qu’est-ce qui détermine cette fameuse valeur ? Tout simplement la quantité d’informations cachées. S’il y en a beaucoup, le joueur devra fournir un effort important pour interpréter naturellement les différents camps. S’il n’y en a pas (comme aux échecs), cela sera plus simple, même s’il y aura toujours les “plans de bataille” et autres stratégies à gérer.


Les modes solo qui n’ont plus rien à voir avec le jeu en multijoueur

Ceux-là aussi, ils pourraient vous faire regretter un achat !

On sait tous que, sauf exception rare, un mode solo ne retranscrira pas à 100% les sensations du jeu à plusieurs. Ce n’est pas forcément grave, hein ! Il m’arrive d’avoir encore plus de plaisir à jouer seul à pas mal de jeux qu’à plusieurs, même si on y perd sur quelques facteurs.

Je vous donnerai quatre exemples de jeux en solo pour illustrer ce point, classés par ordre de fidélité au mode multijoueur.

Premier exemple : Paper Tales. Ici, rien à dire : le mode solo de Paper Tales nous donne vraiment l’impression de jouer contre un adversaire, car rien ne change quasiment : on continue à drafter des cartes, à faire la guerre, à construire son royaume et à lutter dans la bataille des points. Ok, Paper Tales n’est pas un gros jeu, c’était donc plus facile de l’adapter en solo, mais quand même, l’auteur a fait très fort !

Deuxième exemple : Scythe. Bon point pour le solo, car on affronte également un adversaire comme quand on joue à deux, même si celui-ci n’est pas très bavard et n’aide pas à ranger le jeu en fin de partie. Néanmoins, par souci de simplicité, l’adversaire n’amasse pas de ressources comme nous, ne développe pas de technologies, ne construit pas de bâtiments, ne possède pas de valeur de popularité etc. Donc oui, on affronte un adversaire, mais un adversaire qui n’est pas tellement comme nous (d’ailleurs, on ne l’appelle pas Automa pour rien). On peut donc dire que Scythe s’en sort bien dans l’ensemble, même si certains joueurs comme moi regretteront le manque de ressemblance.

Troisième exemple : Lords of Hellas. Là, déjà, on peut se douter que le mode solo est assez différent du mode multijoueur. Vous savez pourquoi ? Parce la configuration à un seul joueur n’est pas recommandée sur sa page Board Game Geek. Pour m’être un peu renseigné à l’époque, j’ai pu comprendre que dans ce jeu digne d’un 4X, le joueur solo ne suivrait pas tout à fait la même voie que dans le jeu à plusieurs. Au lieu de faire la guerre à d’autres factions, décimer leurs forteresses et mettre le feu à leurs temples, il devrait à la place repousser des vagues d’invasions barbares. Pourquoi pas, ça peut être fun, mais tout de même, ça nous fait passer d’un jeu de conquêtes à un jeu de Tower Defense. Forcément, c’est pas tout à fait pareil…

Quatrième exemple : Neuroshima Hex 3.0. Là, on change complètement de sujet. Dans ce jeu d’affrontement en territoire post apocalyptique, les joueurs placent à tour de rôle des unités sur le champ de bataille. Aussitôt placée, une unité fait feu dans les directions que lui permettent ses capacités, puis le joueur suivant riposte en plaçant une unité, puis un autre joueur en fait de même et ainsi de suite. En solo, c’est différent : il nous faut choisir un “puzzle” parmi ceux proposés où les ennemis sont déjà positionnés sur la map. Le but : résoudre le puzzle en plaçant nos unités, sans qu’il n’y ait d’adversaire pour en faire de même, le but étant de tuer tous les ennemis sous certaines contraintes. Alors oui, cela fera travailler nos neurones, alors oui, il y aura de quoi faire avec tous les puzzles proposés, mais franchement, si j’achète Neuroshima, c’est pour faire la guerre dans les feux de l’enfer, pas une session d’entraînement au QG de tonton Marcel.


Les décisions arbitraires

La plupart des auteurs de jeux ont compris, et heureusement, que dans un mode solo, il faut à tout prix faire en sorte que le joueur n’ait pas de décisions arbitraires à prendre, comme lorsqu’il s’agit d’effectuer le tour de l’IA, de placer un élément de mauvaise augure pour nous ou de choisir laquelle de nos unités sera ciblée par une frappe au napalm de 3’500°C.

Imaginons la situation suivante dans un jeu de type Star Wars :

J’incarne la faction des Rebelles. A ce stade du jeu, je possède une base sur les planètes Yavin 4, Tatooine et Hoth. C’est au tour de l’Empire (contrôlé par le jeu), et celui-ci effectue l’action “Attaquer” sur une de mes bases. Mais laquelle sera-t-elle ?

Selon comment le mode solo a été créé, nous pourrions avoir plusieurs possibilités.

Première possibilité : l’Empire attaque la base la moins bien défendue, celle ayant le moins d’unités en défense. Il y a une certaine logique là-dedans et ça a le mérite d’être clair.

Deuxième possibilité : l’Empire attaque une base au hasard. Pour cela, on lance un d6 qui déterminera le choix de sa cible. La décision qui s’ensuivra ne semblera pas toujours très pertinente mais au moins cela apporte un peu d’imprévisibilité.

Troisième possibilité : l’Empire attaque la base de notre choix. Déjà, il y a de quoi grincer des dents, même si c’est un peu un cadeau que nous fait le jeu. Mais il y a pire, attendez :

Quatrième possibilité : le jeu nous dit “Faites ce qu’il y a de mieux pour l’Empire”.

Et dans ce dernier cas, je dis :

Parce que voilà, quoi, comment est-ce qu’on peut déterminer à coup sûr ce qu’il y a de mieux pour l’Empire ? C’est le genre de cas à se retrouver coincé dans des réflexions sans fin : “Alors, Tatooine est la planète la moins bien défendue, donc c’est la meilleure cible d’attaque. D’un autre côté, Yavin 4 possède les ressources qui font défaut à l’Empire, mais comme Hoth abrite ma base secrète, l’Empire aurait tout intérêt à la détruire au plus vite… Ah, et il ne faut pas que j’oublie que l’Empire possède une carte qui lui donne un bonus de +1,78 au combat rapproché sur les planètes où poussent des fleurs jaunes !

Comme je le disais, ce genre de truc n’arrive pas dans beaucoup de jeux, mais l’apercevoir quelque part suffit généralement à me faire pousser de profonds soupirs et à gâcher mon envie de jouer.


Le mode qui retire la moitié du matériel disponible

“Pour le mode solo de ce jeu, c’est comme en multi sauf qu’on retire les cartes Diplomatie, les cartes Titre, les cartes Évènement numéro 1 à 59, les cartes Action numéro 23 à 89, les pions Commandement, les figurines des Forces spéciales, les kangourous albinos et qu’on ne peut pas jouer les factions rouge, violette et verte !”

Autant dire qu’il ne reste plus beaucoup après ça.

Bon, cet exemple est exagéré, mais il est vrai que certains jeux retirent une importante part du matériel quand on joue seul. C’est d’ailleurs souvent des jeux dont le monde solo ne ressemble plus beaucoup au mode multijoueur, comme on l’a vu plus haut (sauf si vous faites parties de ces crapules qui ne lisent pas les articles en entier, préférant jeter un œil aux seuls points qui les intéressent alors que j’ai sué sang et eau pour rédiger ces paragraphes dignes d’un prix Goncourt en devant m’éclairer avec une lampe à huile parce que mon chat a mangé l’ampoule de ma lampe de bureau ! Je vous hais !!!).

Fort heureusement, de plus en plus de jeux retirant du matériel pour le mode solo en rajoutent un spécial à la place, un qui soit spécialement adapté, par exemple des cartes permettant de simuler des négociations entre le joueur fictif et le joueur humain, aspect qui serait normalement réservé dans le jeu à plusieurs.


L’absence de difficulté paramétrable

Prenez un jeu comme Mage Knight. Il vous propose pas moins de 11 niveaux différents pour les cités à conquérir (objectif principal du jeu). Vous pouvez même fusionner deux cités pour augmenter la difficulté, par exemple en prenant deux cités de niveau 6 qui donneront l’équivalent d’une cité de niveau 12. Et si cela ne suffit toujours pas, vous trouverez une foule de variantes dans le livret de règles pour modeler l’expérience de jeu. Question difficulté paramétrable, on fait difficilement mieux !

Prenez ensuite un jeu comme DarkLight: Memento Mori. Le jeu est dur à en crever et il n’y a pas de niveaux de difficulté ! Si vous en avez marre de voir que votre personnage ne peut passer trois portes sans que la main même de Satan ne le réduise en petit tas de cendres, eh bien ça sera à vous de vous démerder tout seul pour modifier les règles et ne pas finir dégoûté !

Prenez finalement un jeu comme Zombicide 2ème édition. Tout est facile, tout vous tombe dans les mains, tout ça pour flatter votre égo ! Il vous suffi de vous pencher pour ramasser trois Molotov ou une tronçonneuse, et au cas où cela ne suffirait pas, le jeu fournit quelques armes destructrices, comme le AK-47 ou le sniper doré. Dans ces conditions, les pauvres zombies n’ont pas la moindre chance !

“Ben il suffit de choisir un scénario difficile, alors !”

Ouais, mais ça ne suffit même pas. Ça reste trop facile !

“Dans ce cas tu joues quatre personnages au lieu de six. C’est toi qui le proposais dans ta critique, en plus !”

Oui, je sais ! Mais j’essaie de souligner la frustration qu’un tel jeu peut engendrer si on ne pense pas à ça !

Enfin bref, tout ça pour dire qu’il existe des jeux qui ne proposent pas de défi satisfaisant, du moins sans devoir bidouiller les règles, quitte à mettre au point des règles farfelues. Parfois, les jeux offrent différents niveaux de difficulté mais restent trop faciles tout de même, comme cela semble être le cas d’AuZtralia (à moins de jouer sur le verso du plateau).


Les modes solo à télécharger sur internet

On me dira que je chipote mais…

“Tu chipotes !”

La ferme, toi !

… mais j’ai horreur qu’un jeu qui se revendique jouable en solo (quand c’est donc clairement inscrit sur la boîte ou sur le site de vente) ne fournisse pas les règles pour être pratiqué de la sorte ! Forcément, les règles existent, sauf qu’elles doivent être récupérées sur internet.

Dernier exemple en date dans ma ludothèque : Trench Club ! Il m’a fallu les faire imprimer, surtout que l’IA de ce jeu utilise un tableau de réaction qu’on préfère avoir sous la main. J’ose à peine imaginer ma réaction si j’avais découvert l’absence de ces règles à l’époque où je m’offrais des jeux avant de partir en vacances à la montagne et que je les déballais pour la première fois là-haut, où il n’y avait ni Wifi ni imprimante.

Et pour couronner le tout, le mode solo de Trench Club nécessite en temps normal de posséder du matériel qui n’est disponible que dans la version Deluxe du jeu, que je ne possède évidemment pas. Merci franchement, j’ai l’air d’un gros blaireau, maintenant !


La nécessité d’utiliser une application

Dépendre d’un écran lors d’un jeu est si rédhibitoire pour moi que je prends soin de bien me renseigner à l’avance. Mais en toute honnêteté, je serais capable de mettre un coup de marteau à un nouveau jeu si je découvrais dans les règles que le mode solo implique d’utiliser une application, pour contrôler l’IA, par exemple.

Bien entendu, certains diront : “Oui, mais c’est plus pratique avec une application. Ça réduit le temps d’installation, ça évite les manipulations compliquées, ça permet à l’IA de jouer de façon plus intelligente et puis pour chaque application téléchargée, deux centimes seront reversés à la fondation des joueurs de trompette unijambistes, en Papouasie !”

Ouais mais non, déjà que mon téléphone se décharge en quinze minutes, même quand on ne l’utilise pas…


Voilà, j’ai fini de râler. Je vais donc aller me changer les idées avec un bon Kingdom Death: Monster en utilisant une variante téléchargeable qui retire les deux tiers des monstres et où il faut marquer le plus de points possible en construisant des stands de hot-dogs. Mais bon, il paraît que c’est tellement bien !

Sur ces bonnes paroles, je vous dis au revoir avant de laisser Trauman vous dire :

Mauvaise nouvelle !

“Il y aura sûrement d’autres articles où le créateur du blog exprimera sa mauvaise humeur !”

Catégories : Articles divers

4 commentaires

13obscur · 15 mai 2022 à 12:42

Salut,

Sur les BYOS, j’accroche de moins en moins. Ceux qui sont déjà dans ma ludo, et que j’aime, ça change pas, mais dans le cas de futurs achats, les BYOS partent avec du retard, et il faut que j’ai lu de bons retours, et que les vidéos de playthrough me donnent envie de jouer. Sinon, c’est NO GO. Par contre, les BYOS déguisé, je les considère pas comme des BYOS (je suis trop mauvais pour être sûr de gagner à chaque fois ^^), du coup, ça passe mieux pour moi.

Les “faux solo” / schizo, je les considère même pas comme des solo. Sinon, quasiment tous les compétitifs seraient des “solo”.

Le mode solo différent du multi, je te rejoins complètement. Sur un article sur le mode solo de Conspiracy, B.Cathala explique les 3 contraintes qu’il voulait respecter. La première était “Proposer une expérience de jeu analogue à celle du jeu multijoueurs “. Je suis d’accord avec ça. Sans ça, c’est comme avoir un jeux de 52 cartes, et jouer à la belote et au solitaire: c’est deux jeux différents même si le matériel est le même.

Les décisions arbitraires, c’est presque un mode schizo déguisé. Si le choix est à la marge (c’est à dire dans une situation très rare), ça peut passer, si c’est fréquent, ça n’a pas d’intérêt.

Pour le retrait du matériel, je suis d’accord avec toi (mais comme souvent, si c’est à la marge, je peux le tolérer).

Egalement d’accord sur la difficulté paramétrable. Déjà, cela permet à chacun de trouver le niveau de difficulté qui va le satisfaire. Pour ma part, il faut que je puisse gagner, mais pas systématiquement (si je gagne facilement, je n’y trouve pas d’intérêt). Sur certains jeux, le niveau le plus facile m’a me suffire, et sur d’autres, ce sera le niveau le plus dur, quand pour un autre joueur, ce sera exactement le contraire.

Et encore d’accord sur le mode solo à télécharger. Le seul où c’est acceptable, c’est lorsque le jeu n’est pas prévu pour le solo, mais que le mode arrive plus tard. Sinon, si la boite indique que c’est jouable en solo, j’attend que les règles et le matériel soit dispo dans la boite.

Pour finir, je partage pas ton avis sur l’application. Mais c’est peut être le point le plus subjectif car je me suis habitué à utiliser une appli et du coup cela ne me gene plus. Si l’appli est nécessaire pour le base multi, c’est normal de devoir l’utiliser en solo. Si elle n’est utile que pour le solo, j’attends de cette appli qu’elle soit juste une aide, mais que le matériel soit dispo dans la boite: en gros, que le joueur ait le choix de jouer avec ou sans application.

Vu le pavé, je me demande si ça vaudrait pas le coup que je fasse un article sur mon blog avec ma vision. 😀

    Le chat solitaire (Skinner) · 15 mai 2022 à 13:29

    Salut, et merci pour ce chouette retour !

    On se rejoints donc en bonne partie ! Pour le BYOS déguisé, il est vrai que je pense surtout à celui de Terraforming Mars dans lequel gagner une partie (officiellement) était devenu une formalité pour moi.

    Et bien entendu, tout est question de marge, même si celle-ci sera personnelle à chacun. 🙂

    Je serais très curieux de lire ta vision si tu la rédiges dans un article, en tout cas ! 😉

    A bientôt, et merci de m’avoir lu !

Saxgard · 29 juin 2022 à 20:57

Salut

Je rajouterais ceci :

Les modes solo qui ajoutent de la complexité et encore plus de petites règles à des jeux déjà bien chargés.
Je pense par exemple à la série des T (Teotihuacan etc.). J’ai constamment le nez dans les règles des variantes. :/
C’est dommage car les jeux sont bons.

Pour tous le reste je suis 100% d’accord. Concernant les solo avec appli il ne faut juste pas qu’elle soit intrusive. C’est pour cette raison que j’ai revendu mon descent. C’était bien trop lourd et sans intérêt pour moi.

    Le chat solitaire (Skinner) · 30 juin 2022 à 19:58

    Hello !

    Je suis d’accord ! Dans cette catégorie, je citerais Race for the Galaxy dont le mode solo (qui venait avec une extension) était aussi peu intuitif que fidèle au jeu à plusieurs. Vite revendu, alors qu’il s’agissait à l’époque de l’un de mes rares jeux jouables seul.
    Pour Teotithuacan, je ne peux pas me prononcer car je ne le connais pas, comme tu le sais. 🙂

    Pour n’avoir jamais donné leur chance aux jeux avec appli, je ne me représente pas trop les cas où cela serait trop intrusif ou non. ^__^

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