Mais pourquoi c’est aussi mort, ici ? (Avec teaser sur les prochains articles)

Publié par Le chat solitaire (Skinner) le

“Hey, les amis, comment vous allez ? C’est moi qui vous parle, là, parce que le chat ne sait pas trop par où commencer. Ça nous fait plaisir de vous revoir, vous savez !”

“Absolument ! On regrette de ne pas être très présents en ce moment, vu que le chat a des préoccupations passagères. Mais il ne faut pas lui en vouloir, on ne peut pas être motivé tout le temps.”

“S’il pouvait quand même en profiter pour passer l’aspirateur dans son appartement, ça serait toujours ça. C’est vachement poussiéreux dans la cuisine..”

Merci vous deux, vous êtes gentils, mais je vais prendre le relais si vous voulez bien. Et peut-être que j’irai faire un peu de nettoyage après tout ça…


Bonjour à toutes et à tous ! A l’instar de mes deux camarades, je suis heureux de vous écrire.

Oui, on ne va pas se le cacher, le site est un peu laissé à l’abandon ces temps et j’en suis le premier déçu. On est loin de l’année dernière où ma motivation sans faille me permettait de pondre plusieurs articles par semaine.

Autant vous rassurer tout de suite, mon intérêt pour les jeux et ce site n’ont pas diminué pour autant. Par contre, des évènements du quotidien impactent ma productivité, et même si on peut se dire que me consacrer à ce site me changerait les idées, ce n’est malheureusement pas si simple.

Je ne vais pas m’étaler sur ce qui cloche, ce n’est pas dans l’esprit de ce blog. Je peux juste vous dire que la situation mondiale ne m’est pas réjouissante et que la qualité de mon logement a drastiquement baissé depuis quelques mois en raison de nuisances permanentes. Je ne joue plus autant qu’avant non plus, parce que je m’en sens moins l’énergie et l’envie. Mais je continue à me renseigner sur les jeux, à réfléchir à de nouvelles variantes pour ceux que je possède, à lorgner mes livres de jeu de rôle qui m’attendent, à me réjouir des Kickstarters sur le point d’arriver et même penser à la création de jeux. Il y a donc un fond de motivation en moi et c’est très positif !

Pour se concentrer sur ce positif, j’ai d’ailleurs décidé de lister ce qui vous attend sur ce site, dans l’espoir de vous mettre l’eau à la bouche. Je ne parlerai pour l’instant que des articles à venir mais je reviendrai rapidement vous parler des jeux proches de rejoindre ma collection.

Je vous invite vivement à partager dans les commentaires ce qui vous intéresse le plus, car cela me donnera encore plus envie de le faire pour vous ! N’hésitez pas non plus à me poser des questions ou à partager vos requêtes si vous en avez.

Sur ce, c’est parti :


Les articles à venir

Critique de Dungeon Degenerates: Hand of Doom

L’un des jeux les plus uniques de ma collection, notamment au niveau de l’artwork.

Dungeon Degenerates, c’est la fabuleuse aventure de 1 à 4 criminels échappés de prison qui vont parcourir le monde et ses dangers dans le but de… eh bien ça sera à vous de décider.

On a affaire ici à un Ameritrash dans toute sa splendeur mais qui ne néglige pas pour autant les subtilités. Tout se déroule dans un genre d’Openworld que vos succès et échecs altéreront. C’est épique, c’est fun, et c’est parfait pour du solo, même si je recommande de jouer au moins deux personnages.

Attention, cependant, car le jeu se doit d’être joué en campagne (de 4 à 8 parties, environ) pour être apprécié à sa juste valeur. Et croyez-moi, il vaut mieux ne pas le ranger entre deux sessions !

“Trop de la balle, ce jeu, quasiment aussi bien que Kingdom Death: Monster, c’est dire ! Il y a huit personnages différents avec la boîte de base et encore 20 autres si on craque pour les extensions. Et puis on tue du monstre à tout bout de champ !”


Critique de Rallyman GT avec variante personnelle

Je n’arrive pas vraiment à l’expliquer, mais autant je me contrefous des voitures dans la vraie vie, autant j’adore en piloter dans les jeux de plateau, surtout si ça se joue en solo !

Rallyman GT est la dernière réédition d’un jeu de rally où le but était de faire le meilleur temps possible sur un circuit de bitume, de terre ou de neige. Ici, les règles ont changé : on se plonge dans des courses frénétiques sur de vrais circuits, contre des adversaires sans pitié et où il faudra surchauffer son moteur pour franchir la ligne d’arrivée en premier. Peut-être plus vraiment du rally mais qu’est-ce que c’est cool !

Le mode solo de la boîte est juste… inutile. Il s’agit à nouveau de faire un contre-la-montre, de quoi frustrer quand on voit ce qu’on perd par rapport au jeu à plusieurs. Heureusement, bon nombre de variantes sont apparues sur Board Game Geek, des variantes qui instauraient des adversaires virtuels mais efficaces.

Après quelques tests, j’ai décidé de fusionner mes deux variantes préférées en y ajoutant ma touche personnelle. Et je compte bien la partager avec vous !

“Contrairement à ce que je pensais, Rallyman GT n’est pas juste un jeu de brutes qui se limite à de bêtes lancers de dés. Il faudra se montrer intelligent pour gagner, ce qui implique une bonne gestion des risques, une étude du circuit soignée et un habile entretien de la voiture et ses vitesses.”


Critique de Root

Vous vous en souvenez peut-être, mais je vous avais déjà offert un article de découverte sur ce jeu. Eh bien j’y ai tant joué depuis que je pourrai sans problème vous faire une critique plus détaillée, en me basant uniquement sur les quatre factions de base, qui plus est.


Critique de Eleven: Football Manageur Board Game avec variantes personnelles

Mon dernier financement participatif reçu. Et je dois dire que je ne suis pas déçu pour le moment !

Vous l’aurez deviné, mais il sera question de foot, ici, mais plus encore que de jouer des matchs, il s’agira de gérer un club avec succès, de l’achat des joueurs jusqu’à la signature des contrats publicitaires.

Le jeu ne séduira pas complètement les amateurs de gestion à l’allemande car le hasard et la surprise demeurent présents dans Eleven. Mais c’est aussi ça qui rend le sport si excitant !

Eleven est tout indiqué pour jouer en solo, puisqu’on y suit quasiment les mêmes règles qu’à plusieurs. La différence est qu’il faut se frotter à des scénarios (6 dans la boîte de base). Cela ne m’a pas empêché de concevoir une petite variante proposant un mode de jeu général, rejouable à l’infini. Je pense même un jour essayer de créer un générateur de scénarios pour augmenter le fun !

Pour le moment, je m’éclate avec le jeu de base, mais il existe également cinq petites extensions qui m’ont l’air très sympathiques, notamment celle instaurant le mode carrière, où l’on prend le contrôle de plusieurs clubs à travers les saisons

Mauvaise nouvelle !

La version boutique de ce jeu n’atteint pas la beauté et le contenu de la version Gamefound !

Oui, effectivement. Mais j’aurai l’occasion d’en parler dans l’article.

“En tout cas, il nous plaît bien à nous aussi, le jeu. Moi, ce que je kiffe, c’est de vraiment me sentir à la tête d’un club de foot et de mettre des raclées aux équipes adverses. K’euroline, elle, c’est la gestion qu’elle trouve sympa, même si on est loin d’un Agricola.”


Critique de Hellenica: Story of Greece avec variantes personnelles

Monstres et interventions divines ne disent pas forcément Dungeons & Dragons et Seigneur des Anneaux. Hellenica en est la preuve puisqu’il nous conduit tout droit en Grèce antique, cette époque incroyablement riche en mythologie et légendes.

Pour la faire court, Hellenica est un 3.5X : on contrôle une ville (Athène, Sparte, Troie…), on envoie nos armées conquérir des territoires, on amasse des ressources, on explore la carte (de la Grèce et ses alentours), on attaque les adversaires etc.

Bon, en réalité, on explore la carte seulement si on utilise la variante adéquate (uniquement disponible dans la version KS, malheureusement) et on “amassera” seulement des pièces de bronze, des philosophes et de la faveur divine.

Si je devais comparer Hellenica à un autre jeu, ça serait Clash of Culture, notamment pour les arbres technologiques, la construction de bâtiments et l’époque. Sauf que dans Hellenica, il y a les dieux qui interviennent, en faisant cracher les volcans, invoquant le minotaure, poussant les Égyptiens à nous attaquer etc. Et surtout, dans Hellenica, on peut jouer en solo ! Et soyez sûrs que c’est pas du solo pour mauviettes puisqu’on y affrontera les autres villes majeures du jeu. Et comme le jeu en propose sept au total, cela veut dire que vous pourrez, si vous le souhaitez, affronter six IA à la fois. Rien que ça !

Même si l’auteur a accompli un travail phénoménal pour donner vie à ce mode solo, il reste selon moi des points à améliorer, ce que j’ai déjà commencé à faire dans ma variante personnelle. Je compte même aller plus loin en revoyant tous les évènements que propose le jeu (et il y en a beaucoup) pour les adapter davantage au mode solo.

Autant vous prévenir, pour apprécier Hellenica à sa juste valeur en solo, il est conseillé d’investir dans l’extension qui vous apportera en plus un système de rangement agréable. Cela coûtera tout de même un peu cher. Ah, et mieux vaut avoir une grande table aussi !

“Je dois dire que j’ai été agréablement surprise par la partie gestion de ce jeu. Bien qu’ils puissent être construits chaque tour sans nécessiter de ressources, les bâtiments se doivent d’être choisis avec la plus grande attention, surtout qu’il y en a sept différents. Toute la subtilité du système vient du fait qu’avoir des bâtiments variés permet d’effectuer de nombreuses actions différentes tandis qu’en avoir plusieurs du même type limite les possibilités mais rend vos actions beaucoup plus fortes. Comme chaque territoire ne peut accueillir qu’un nombre limité de bâtiments, il vous faudra bien réfléchir avant de démarrer le moindre chantier.”


La forêt rouge

Qu’est-ce que c’est que ça, un nouveau jeu ? Un livre dont vous êtes le héros ? Non. Il s’agit bien d’un livre, mais qui n’a rien à voir avec le monde ludique.

La forêt rouge est en réalité le dernier roman que j’ai écrit.

“Attends, c’est quoi ces histoires ? Tu nous avais jamais dit que t’écrivais des livres !”

Ben en fait oui, mais j’ai tendance à rester discret par rapport à ça. Il faut dire que je suis encore très loin (mais vraiment très loin) de connaître le succès des grands auteurs. Mais qui sait, peut-être un jour…

“Mais c’est chouette, ça ! Il faudra que tu me files un exemplaire pour te donner mon avis. Dommage que Sina’ ne sache pas lire, il aurait pu te soutenir aussi, comme ça…”

“Menteuse, je lis beaucoup ! L’autre jour, j’ai lu les règles de Pandémonium et puis celles Fallout sur Board Game Geek !”

“Tu les as même pas lues, t’as seulement regardé les images, andouille !”

Allons, ne vous chamaillez pas devant nos lecteurs après tout ce temps passé sans eux !

Bref, la Forêt rouge est un roman plutôt court (200 pages en livre de poche) narrant la triste histoire d’Elrick, un individu s’étant juré de se venger de la forêt dans laquelle il vint au monde, en coupant chacun de ses arbres. La forêt est en effet responsable de la mort de la femme qu’il aimait, vingt ans plus tôt. Un jour, cependant, un cri déchire le silence. Un nouvel ennemi rôde dans les bois. Pour la première fois depuis ces deux décennies, la forêt s’est réveillée et semble bien décidée à se défendre.

Un conte fantastique et sinistre mêlant souvenirs tendres et présent obscur.

Je vous donnerai plus de détails lorsque j’écrirai l’article. J’en profiterai pour vous dire comment acheter le livre et vous parler un peu de mon parcours. Depuis le temps que je me dis que je le ferai.

Notez que mon nom de famille n’est pas Auram, il s’agit seulement d’un pseudo.


Nous voilà arrivé à la fin de cet article. A nouveau, n’hésitez pas à me poser des questions et à me citer ce qui vous intéresse le plus.

On se retrouve très vite pour parler des jeux qui rejoindront ma collection d’ici peu.

Des bisous !

Catégories : Articles divers

3 commentaires

Saxgard · 22 novembre 2022 à 18:15

J’espère que tu trouveras vite un nouveau logement ou que le problème finira par se régler de lui même.

En tout cas ça fait toujours plaisir de lire de nouveaux articles.

Cool que tu décide enfin de parler de tes livres. J’espère que ce n’est que le début.. ^^

Pour moi des articles sur tous ces jeux est bon à prendre hormis peut-être pour ceux qui sont uniquement en anglais. 🙂

Mais vu que tu sembles beaucoup jouer à Eleven, j’ai comme l’impression que ça pourrait bien être le prochain article. Le peu de critiques que j’ai lu ou entendu semblent très bonnes en tout cas.

    Le chat solitaire (Skinner) · 22 novembre 2022 à 23:44

    Merci, Saxgard ! 😀 J’ai visité un très bel appartement aujourd’hui, j’attends donc de savoir si j’ai une chance de m’y reclure avec mes jeux !

    J’espère aussi que ce n’est que le début pour les livres. Comme tu le sais, il y en a plusieurs dont je pourrais parler. ^__^

    J’aurais peut-être dû préciser pour chacun si le jeu serait en français ou non. J’éditerai à l’occasion.

    Je crois qu’un article sur Eleven s’impose en effet. 😀

    A bientôt !

Saxgard · 23 novembre 2022 à 15:28

Croisons les doigts 🤞 pour l’appart.

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